Ecoresponsable
Impact du denim
sur l'environnement
Un jean utilise environ 42 litres d'eau pour sa finition
Le jean fait partie des vêtements qui polluent le plus. De la récolte du coton à sa commercialisation, un jean peut parcourir près de 65 000 kilomètres. Les différentes étapes de sa fabrication sont tellement dissociées qu’il est parfois difficile d’avoir une traçabilité des produits. Les distances parcourues par le jean tout au long de sa production rendent son bilan carbone particulièrement élevé, faisant de l’industrie du jean un secteur d’activité émetteur de gaz à effet de serre.
Pour sa coloration, pour l’amélioration de sa texture ainsi que pour son délavage, le jean doit subir une série de traitements et de rinçages qui consomme d’énormes quantités d’eau. Ces traitements sont très souvent réalisés avec des produits chimiques tels que les nitrates, l’arsenic, les antimites, qui sont responsables de la pollution des sols, des eaux et de l’air.
C’est pourquoi nous avons investi sur notre nouvelle machine Jeanologia G2 Atmos qui nous permet de réduire considérablement l’utilisation d’eau et de produits chimiques, en éliminant les pierres ponces pour obtenir la bonne teinte plus rapidement, de manière durable et à moindre coût.
Alors que le blanchiment chimique ou le stonewashing nécessite six à sept lavages et rinçages, la finition à l’ozone n’en nécessite que deux ou trois.
Toujours dans un esprit avant-gardiste Les Teintures de France cherche des alternatives à l’eau, aux produits chimiques et aux pierres pour obtenir le look délavé que les consommateurs recherchent.
Un procédé zéro rejet qui permet d’économiser de l’eau et de l’énergie, sans avoir recours à des produits chimiques toxiques.